BHNS, Fébus alias l’Uniquaumonde
Parce qu’ils sont d’une discrétion de violette, les journaux locaux n’ont pas abordé le sujet. Il faut cependant que vous le sachiez : la station de production d’hydrogène ou électrolyseur est encore en panne. Les bus sont alimentés grâce à des livraisons effectuées par des poids lourds.
Selon les archives d’Alternatives Pyrénées, c’est aujourd’hui le quatrième article que j’écris sur le fonctionnement du Bus à Haut Niveau de Service, également appelé Fébus et enfin qualifié d’ « Uniquaumonde » par qui vous savez. Vous pourrez trouver les liens de ces publications in fine. Un filon sur un sujet qui promet d’être inépuisable.
La série des aventures de Fébus remonte à la fin 2019. Et depuis, sur dix huit mois d’existence, on peut établir qu’il n’a fonctionné normalement que sur une durée de six mois. Enfin lorsqu’on dit normalement, cela signifie selon les conditions prévues par les installations y compris, bien entendu, en considération d’une production de la station d’hydrogène conforme aux données techniques affichées.
Afin de préciser les dates de fonctionnement normal, il suffit de les énumérer, ainsi :
- de mi janvier à mi mars 2020 ;
- de fin août au 10 novembre 2020 ;
- du 20 janvier au 20 mars 2021.
En dehors de ces dates, une panne de l’électrolyseur a contraint Idélis à faire venir l’hydrogène au moyen de camions, depuis Lyon. Chacun appréciera à sa juste valeur l’aspect écologique du dispositif. Il serait intéressant pour cela de connaître l’empreinte carbone découlant de ces trajets hebdomadaires. Le contraire de ce qui était prévu. Les livraisons se font du vendredi matin au lundi matin par semi-remorques. Le week-end, c’est plus discret !
La fréquentation de ce « nouveau » moyen de transport public décrit tout à la fois, comme performant et écologiste, mériterait également quelques commentaires. Cependant la période de pandémie et de couvre-feu que nous vivons actuellement ne correspond pas aux normes habituelles et ne peut évidemment pas servir de référence. Les parkings relais sur lesquels on fondait beaucoup d’espoir restent désespérément vides.
Enfin, pour rester sur une note optimiste, il faut espérer que bientôt, le plus tôt possible, Fébus jouera le rôle qui lui a été assigné : faciliter les transports en commun vers le centre de la ville et diminuer la pollution automobile.
Pau, le 26 avril 2021
par Joël Braud
Décidément, Fébus en rade du 23 novembre 2020 :
https://alternatives-pyrenees.com/?s=D%C3%A9cid%C3%A9ment+F%C3%A9bus+encore+en+rade
Gaston, toujours en panne du 17 août 2020 :
https://alternatives-pyrenees.com/?s=Gaston+toujours+en+panne
Mais où est passé le bus à hydrogène du 27 juillet 2020 ? :
https://alternatives-pyrenees.com/?s=Mais+o%C3%B9+est+pass%C3%A9+le+bus+%C3%A0+hydrog%C3%A8ne
BHNS, trop beau pou être vrai du 24 juin 2019 :
https://alternatives-pyrenees.com/?s=BHNS+trop+beau+pour+%C3%AAtre+vrai
Rappel pour info et/ou rappel : Pau / bus à hydrogène…
Lire l’article de l’UGAP, très grosse centrale d’achat Nationale pour les collectivités permettant d’acheter légalement sans passer par un appel d’offre local… Le lobby hydrogène s’y est engouffré pour fourguer sa chère camelote…
Article « Pau, collectivité pionnière de la mobilité hydrogène » : publié le 22 février 2022
Source : site web de l’UGAP (Union des groupements d’achats publics) : article section « Participer au développement durable »
URL : https://www.ugap.fr/nos-articles/participer-au-developpement-durable/pau-collectivite-pionniere-de-la-mobilite-hydrogene_4560420.html
Quelques techniciens cadres et quelques élus assoiffés du dernier jouet à la mode suffisent à faire plonger une collectivité dans des dépenses inconsidérés pour leur permettre de faire savoir à tous leurs petits copains que EUX ont le plus beau jouet…
En est-on arrivé à mentir et se mentir pour caresser la belle image de l’innovation en transition énergétique de la bien-pensante classe politique de tout bord effectivement ?
Extrait de l’interview (Lucie Kempf) : « Plus de 350 km d’autonomie par jour : « Dans le cadre de la procédure de dialogue compétitif mise en œuvre en amont du projet, la propulsion par l’hydrogène s’est vite imposée comme LE levier de mobilité durable le plus performant en terme d’exploitation avec une autonomie par jour de plus de 350 km, nettement supérieure à celle d’une motorisation électrique ! », indique l’intéressée. Et celle-ci de souligner « le caractère global de ce projet de transport zéro émission à hauteur de 14,5 millions d’euros » conduit par Pau Béarn Pyrénées Mobilités comprenant aussi l’installation et l’exploitation – par une filiale d’Engie – d’une station de production et de distribution sur place d’hydrogène vert. Et ce, via de l’électricité fournie par un barrage hydraulique basé à proximité, dans les Pyrénées. »
Humble avis : l’imaginaire nouveau dispositif « Et ce, via l’électricité fournie par un barrage hydraulique basé à proximité, dans les Pyrénées » pour alimenter en électricité « verte » la station hydrogène de PAU le laisse supposer… comme si nos barrages hydrauliques Pyrénéens n’alimentaient pas le réseau National depuis plus de 80 ans ? C’est bien dans le réseau National d’électricité que la station hydrogène de PAU pompe son énergie, point barre ! 😉 😉 😉
Effectivement, le coup du barrage hydraulique à proximité dans les Pyrénées après avoir obtenu une subvention de 900 000 € de la Région Nouvelle Aquitaine au titre d’une production photovoltaïque pour la station hydrogène du BHNS de PAU en Octobre 20217, il fallait oser !!!! Mais vu de Paris et d’ailleurs au sein d’un microcosme technico politique… ça passe pour du vrai !
Il y en a un autre petit.. un peu masqué mais il faut savoir que les bus hydrogène possèdent tous un dispositif de batteries lithium à bord pour avoir une autonomie de 50 kilomètres en cas de panne de la pile à combustible… cette critique « en creux » de la motorisation électrique par la commodité d’exploitation me fait doucement sourire d’autant qu’elle vise à éluder l’essentiel : le gaspillage d’électricité considérable et les coûts de fonctionnement !
Au fait : l’Europe remet en service 27 centrales à charbon cet hiver Messieurs les génies de la transition énergétique !
Plus prosaïquement dit : Le chien se mord la queue à coup de millions d’ euros, jetés dans le tonneau des Danaïdes. La sobriété volontaire, de penser à tourner l’ interrupteur, prônée par E Macron, à grand renfort de discours, est un voeux pieux inapplicable aux Elus du pays.
La raison de la présence d’une (petite) batterie lithium sur les véhicules à hydrogène n’est pas de pouvoir rouler en cas de panne de la pile à combustible, même si effectivement cela peut aussi servir à ça.
Son rôle est celui d’une batterie tampon, qui permet de fournir les pics de courant très importants au moment notamment du démarrage. Avec une batterie tampon la pile à combustible peut être dimensionnée en fonction de la puissance moyenne demandée sur un trajet, plutôt que la dimensionner en fonction de la puissance max demandée.
Préalable : même si déjà évoqué dans plusieurs articles et commentaires sur le site Alternatives Pyrénées…
/ Bus à hydrogène : des résultats contrastés ou à nuancer ?
Pau / bus à hydrogène : y-t-il eu un pilote à la mairie de Pau pour décider de l’efficience d’un tel choix ou la volonté… d’être la première ville (sic) en France 😉 😉 ;-), à utiliser des bus à hydrogène, a t-elle prévalue par rapport à la pertinence d’un tel choix au détriment des… contribuables palois ?
Lire l’article (Extrait) « Bruxelles : la Stib mise sur les bus à propulsion électrique et roulant à l’hydrogène- L-Post » : publié le 23 mai 2022 (Section « Transport public »)
Source : site web L-Post (4100 Seraing, Belgique)
Extrait du chapeau de l’article : « Quant au bus roulant à l’hydrogène, la société a loué un exemplaire pour deux ans pour faire les tests nécessaires avant de se lancer dans une commande. Mais l’expérience du bus à hydrogène connaît des ratés au démarrage…
https://lpost.be/2022/05/23/bruxelles-la-stib-mise-sur-des-bus-a-propulsion-electrique-et-roulant-lhydrogene/
Il existe sur le Web, plusieurs articles et villes où le choix de la mobilité via des bus à hydrogène a posé des questions, des doutes et même l’abandon du projet : des doutes, des doutes et encore des doutes !!!
Exemple : article « Le mirage de l’hydrogène » (Québec) : par Pierre-Olivier Pineau, publié le 12 février 2022 (Affaires et économie – Environnement)
Source : site web L’actualité (2022 Mishmash Média : Québec, Canada)
Court extrait : « …les politiciens de tous les partis auraient intérêt à prendre connaissance des limites de cette forme d’énergie »
URL : https://lactualite.com/lactualite-affaires/le-mirage-de-lhydrogene/
Nota : lire aussi les commentaires qui suivent cet article…
Parmi les doutes (Infrastructures et équipements) évoqués dans plusieurs articles : le coût d’achat et d’entretien des stations hydrogène, les surcoûts (Ex : surveillance nocturne, prime d’assurance…), et ce, sans compter les risques pour l’environnement et les nuisances pour les proches habitations (?)…
Le haut commissaire au plan vient de découvrir l’efficacité énergétique, rapport entre l’énergie utile et l’énergie primaire consommée. Il a été nommé commissaire postérieurement au choix du FEBUS, tant pis pour les palois. Le bus électrique de Bayonne avec recharge en bout de ligne aurait une efficacité 3 ou 4 fois plus élevée, mais avec les pannes paloises on devrait atteindre le facteur 10. Quel est l’intérêt d’utiliser le vecteur hydrogène pour une flotte captive?
Il y a un intérêt, qui est celui d’exploiter les variations du prix spot de l’électricité pour faire fonctionner l’électrolyseur quand il est le plus bas, généralement en milieu de nuit ou d’après-midi, et surtout le dimanche (où le prix spot passe parfois même en négatif). Ces périodes de prix bas correspondent à des moments où l’offre est importante par rapport à la demande.
Bien sûr, il y a peu de chances que cela compense la faible efficacité du principe de double conversion… Mais à ce jour le vecteur hydrogène est le seul qui apporte un début de solution au problème de l’intermittence de la production éolienne et photovoltaïque.
Vu que tout électrolyseur fonctionne 24h/24 , prix spot ou pas prix spot, je crains qu’à la base, il n’y ait aucune chance que cela compense la faible efficacité du principe de double conversion .
Si nos gouvernants de toutes tendances voulaient bien simplement prendre le temps de travailler le sujet qu’ils s’autorisent à promouvoir à coup de Milliards et de déclarations d’opportunisme politicien, peut être se limiteraient ils a l’usage industriel de l’hydrogène par électrolyse pour remplacer l’hydrogène issue du vaporeformage très polluant dans l’industrie des engrais.
Au moins , dans ces usages là, il n’y a pas de double conversion et l’impact environnemental est direct et non théorisé à partir de concepts virtuels ( rachat de contrat de certification d’énergie verte ) .
Au moins dans ces usages là , on ne jetterait pas des milliards d’euros par les fenêtres au détriment de la qualité et des fréquences de cadencement dans les services publics de transport.
Je ne vois pas ce qui oblige à faire fonctionner un électrolyseur 24h/24 ? Bien sûr pour profiter des moments de surplus de production électrique il faut qu’il soit dimensionné en fonction.
La faible efficacité de la conversion est en partie un faux problème :
– on admet depuis longtemps le faible rendement des moteurs thermiques : de l’ordre de 30% dans de bonnes conditions… soit grosso modo le même rendement que la double conversion avec l’hydrogène.
– surtout, quel procédé offre plus de perspectives avec un meilleur rendement pour stocker les surplus de production électrique ? Je n’en vois pas à ce jour. Si on vise une production massive d’électricité renouvelable, on aura besoin de procédés de stockage. Corollaire : si on développe pas les filières industrielles permettant ce stockage, on ne pourra pas viser une production massive d’électricité renouvelable
Et bien le rendement de l’investissement … A 4,5 M€ la station, il vaut mieux ajuster la capacité de production au plus près des perspectives de besoins journaliers . C’est ce que font tous les syndicats de transports qui se portent acquéreur de cette technologie. A Pau, la station inaugurée en septembre 2019 a une capacité maximale de 268 kg/ jour pour 8 bhns embarquant 40 kg chacun. Même si sur une journée type, il y a un à deux véhicules qui ne roulent pas ou partiellement pour permettre la maintenance, le besoin nécessite bien un fonctionnement 24h/24 dans les conditions d’un fonctionnement normal du réseau .
Sinon dans l’absolu, vous avez raison, on peut acquérir le plus gros electrolyseur du monde ( Canada by Air Liquide ) pour choisir les bons horaires de vente d’électricité mais je crains que le raisonnement soit économiquement et écologiquement absurde .
Sur le reste… Je crois qu’on se trompe de raisonnement. Quand la France en est a essayer de faire passer l’electricité nucléaire pour une électricité verte au niveau de la commission Européenne alors qu’en 2030 on ne saura plus où stocker les déchets … Que notre excellence industrielle en la matière est sérieusement entamée par l’experience EPR …
C’est peut être pas le moment d’implanter une technologie de mobilité qui gaspille 2 fois ce qu’elle rend en énergie électrique si complexe à produire proprement et massivement. Mais bon, c’est juste mon opinion.
Les mégas centrales de stockage en batteries ont l’air de satifaire le groupe TOTAL qui me semble bien + actif sur ces solutions que sur l’hydrogène même s’ils distillent quelques gages de partenariats ici où là. Il faut dire qu’il y a tellement de facilités offertes par les fonds publics qu’il serait dommage de passer à coté !
La réalité c’est qu’il n’existe pour l’instant pas de solution parfaite et meilleure qu’une autre sur tous les points. Le stockage en batterie a un bon rendement mais un problème d’échelle évident. Le stockage sous forme d’hydrogène a un mauvais rendement mais est plus facile à étendre. Combien de jours de consommation électrique faut-il envisager de stocker ? La question est là. Il peut arriver des épisodes hivernaux avec peu de vent, peu de soleil, à l’échelle continentale, et pendant plusieurs jours. Il faudra donc envisager un stock stratégique pour ce genre de cas, de la même façon qu’on a un stock stratégique de pétrole en cas de rupture d’approvisionnement. Et ça, avec des batteries c’est hors de portée.
Une des réponses à l’intermittence de la production est l’interconnexion des réseaux électriques européens pour créer un lissage de la production. Une autre solution est le stockage d’hydrogène, mais avec les utilisations projetées: trains sur lignes non électrifiées, aviation moyen courrier, poids lourds longue et moyenne distance, injection partielle dans les réseaux de gaz… on aura du mal à satisfaire le besoin en hydrogène avec le surplus de production électrique.
Le bus a besoin d’énergie diurne principalement, quand les panneaux photovoltaïques débitent, en profitant de leur intermittence.
Aussi, pour une flotte captive (lignes de bus bien définies) l’électrification avec un faible stockage( alimentation en bout de ligne de batteries réduites donc allégées) parait l’évidence.
L’électrolyseur connait des pannes chroniques, mais même quand il marche, il n’a rien d’écologique!
Car si on nous dit qu’il utilise de l’électricité verte, renouvelable, produite par les centrales hydroélectriques des Pyrénées, on omet de nous dire qu’il gaspille près des deux tiers du « contenu énergétique » de cette électricité rien que pour passer par l’intermédiaire de l’hydrogène, alors qu’un trolleybus l’utiliserait sans gaspillage.
Et on omet aussi de nous dire que l’électricité verte des centrales des Pyrénées, il y a cent ans qu’on la produit et l’injecte dans le réseau EDF ou les caténaires de la SNCF, dont les trains électriques ont succédé à ceux de la Compagnie du Midi. Pour faire marcher l’électrolyseur Fébus, il faudra donc confisquer aux utilisateurs actuels le bénéfice de leur électricité renouvelable, dans le genre « Pousse toi de là que je m’y mette! ». On est en plein dans l’escroquerie!
…..on omet de nous dire qu’il gaspille près des deux tiers du « contenu énergétique » de cette électricité rien que pour passer par l’intermédiaire de l’hydrogène, alors qu’un trolleybus l’utiliserait sans gaspillage.
Ça sera également le cas pour les automobiles, dont nos têtes pensantes veulent en faire un mythe . En quelque sorte l’ aboutissement suprême de la technologie, alors que cela ne sera qu’ un gouffre énergétique.
Dans le domaine agricole le problème est le même avec le cas de la viande, dont on nous vante ses qualités énergétiques, alors que là aussi c’ est un gouffre, avec de plus du mal être animal dans le cas de la production industrielle .
La seule différence entre l’ hydrogène et la viande, c’ est le plaisir qui plaide en sa faveur, à la condition qu’ elle soit bonne. Ce qui n’ est par toujours le cas . On touche là du doigt l’ aboutissement du système hyper consumériste qui ne sait plus quoi inventer pour se perpétuer à tout prix . Avec derrière le paravent les lobbies, quand ce n’ est pas des systèmes mafieux.
Je n’avais pas vu votre commentaire et bien que pas très optimiste, je ne peux que le partager malheureusement ! Le paravent des lobbies dans cette affaire des mobilités hydrogène est d’une puissance assez inimaginable quand on retrace les processus de décisions depuis 7 ans environ au niveau National et Européen malgré les reserves de prudence des experts indépendants ( France Stratégie ) Personnellement, quand je me remémore certaines affaires d’un temps où le délit d’initiés faisait rapidement les unes de journaux sur des sommes ridicules en comparaison de notre sujet, je suis assez ébahi que nul ne s’étonne que l’action d’un acteur Français de premier plan de l’electrolyse augmente de 800 % en quelques mois seulement à l’annonce d’un plan d’injection de 7 Milliards de fonds publics dans la filière . Effectivement là … A ces niveaux là, il est permis de s’interroger sur le caractère de ce qui ressemble à des usages massifs d’argent public sur des affaires privées très bien habillées des parements de l’innovation pas toujours si innovante que cela d’ailleurs .
Tout à fait d’accord!
De plus, les piles à combustibles utilisées dans les bus de Pau sont pour l’heure produites à l’étranger par le groupe canadien Ballard).
Les pièces transitent ensuite jusque dans l’Hexagone par le biais de moyens de transports polluants.
Cela confirme ce que j’ avais écrit lors de sa mise en service. Cela n’ est qu’ un prototype de laboratoire, de la mécanique d’ horloger fortement sollicitée, qui va générer plus d’ heures de maintenance que de fonctionnement. Le soit disant progrès a un prix. J’ espère pour les Palois que tout cela a été prévu dans les budgets.