Nous ne pourrons pas dire : « Nous ne savions pas »
Atterré par l’inanité des débats qui ont suivi les élections municipales, affligé par l’image de ces pique-niques géants dans les parcs parisiens ou par ces marchés bondés (cf. notre photo), affligé par ce qui nous attend demain, je reprends la plume. Serions-nous au-dessus de ce que le Président a appelé la « plus grande crise sanitaire du siècle » pour nous asseoir dessus
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