Le serment, un mot à bannir ?

Défini comme un engagement solennel pris devant l’autorité chargée de le recevoir et d’en assurer l’authenticité, le serment ne posait pas de difficulté jusqu’à sa contestation au nom d’une croyance religieuse. Le débat a été relancé récemment de manière indirecte lors de la prestation de serment des élèves avocats devant la cour d’appel de Paris quand, parmi eux, une musulmane,
Lire la suite...