Une minute révélatrice.
Le ministère de l’éducation nationale a souhaité rendre hommage, le 15 octobre, au professeur Samuel PATY, décapité en pleine rue, par un jeune réfugié tchétchène musulman, un an plus tôt, par une simple minute de silence dans tous les établissements scolaires. On aurait pu imaginer une adhésion unanime à ce choix mais, hélas, et sans plus de détails, le ministre dénonce
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